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LA CARTE TRANSPARENCE DE FLEURY MICHON

Pour mettre fin aux idées reçues sur le surimi, Fleury Michon propose à ses consommateurs de venir découvrir la production du surimi, de la pêche à l’assiette.

Le surimi reste un pilier du rayon traiteur de la mer. (crédit photo :L.F)

 

Mot d’ordre : #venezvérifier. Face à des consommateurs méfiants vis-à-vis des produits transformés suite aux différents scandales alimentaires, Fleury Michon veut mettre fin aux rumeurs et on-dit qui entourent le surimi. Pour cela, 3 consommateurs, 5 blogueurs et 2 journalistes seront tirés au sort pour venir assister à toutes les étapes de production, de la pêche en Alaska aux usines de Vendée. Les moins chanceux pourront observer la chaîne de production du surimi via une série de vidéos disponibles sur le site venezverifier.fr.

 

Fleury Michon ne lésine pas pour rassurer les consommateurs et mettre fin à l’érosion des ventes dans l’Hexagone, premier pays consommateur de surimi en Europe et second mondial derrière le Japon. Depuis deux ans, les ventes en hypers et supermarchés baissent de plus de 5 % en volumes. Après un pic, lié à la popularité du régime dit dukan, la consommation a à peine dépassé les 50 000 t en 2012 pour un chiffre d’affaires de 326 M€.

 

Malgré ces chiffres en baisse, le surimi reste un pilier du rayon traiteur de la mer, à l’origine du tiers des ventes. Alors jouer la transparence et lister officiellement les ingrédients utilisés peut être bénéfique pour mettre fin aux idées reçues véhiculées par des détracteurs aussi célèbres que Jean-Pierre Coffe.

Le saviez-vous ? Le surimi commercialisé sous la marque Fleury Michon se compose à 38 % de chair de colin d’Alaska et de merlu blanc. Amidon, blanc d’œuf, sel, huile de colza, arômes naturels de crabe et paprika sont les autres invités de la recette. Nul sorbitol ou polyphosphate dans ces bâtonnets-là.

 

C.FAY

 

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