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La qualité des eaux en question

Pour développer la production aquacole, disposer d’une qualité de l’eau optimale s’impose. Regards.

 

Sébastien Lemoine, Ostréiculteur à Carnac (Morbihan) et président de l’association Cap 2000.

« La qualité des eaux commence à s’améliorer. Le prochain reclassement sanitaire en A de plusieurs secteurs conchylicoles dans le Morbihan conforte notre démarche. Notre engagement pour encourager des pratiques agricoles vertueuses et pérennes commence à payer. Il faut également souligner les efforts menés par les collectivités pour freiner l’urbanisation à outrance et améliorer l’assainissement des eaux usées sur notre littoral. En tant que sentinelles de l’environnement marin, nous devons continuer à être vigilants. »

 

 

Jean Yves Colleter, pisciculteur à Plouigneau (Finistère) et président de la Fédération française d’Aquaculture.
tl_files/_media/redaction/4-Les-pros-ont-la-parole/Regards/2017/Colleter.jpg   « En insistant sur la qualité de nos productions, en s’assurant par exemple que l’eau que nous utilisions était aussi propre à sa sortie de nos installations qu’à l’entrée, nous avons suscité l’intérêt et la fidélité des consommateurs. Ce n’est pas une surprise si notre truite d’élevage est aujourd’hui la 4e espèce préférée des Français. Mais avec une production qui stagne autour des 50 000 tonnes par an, nos efforts sont loin de pouvoir contester la prédominance des autres pays européens. »

 

 

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