Que l’abondance du calmar diminue, et c’est toute la filière des céphalopodes qui s’en trouve bouleversée. Logique, puisque les multiples espèces de calmars constituent l’essentiel des débarquements de céphalopodes. Leur raréfaction dans les principales zones de pêche, l’an passé, a fait grimper les prix à un niveau jamais vu depuis cinq ans.
Enquête : Anne-Caroline RENARD
AU SOMMAIRE :
Quand le calmar se fait rare
Des stocks difficiles à évaluer
Encornets et seiches français traversent les frontières
Les calmars ou encornets restent un plat de restauration
Groupe Barba : un acteur majeur des céphalopodes