Même si l’ostréiculture n’a pas tourné la page des mortalités, les volumes d’huîtres mis en marché devraient être en hausse en 2015. La relance des campagnes de communication pour soutenir la consommation est à l’ordre du jour. Enfin, comme pour justifier des prix qui restent élevés, les démarches qualité individuelles ou collectives ont le vent en poupe.