Dossiers

Connu pour ses commerces de luxe qui font la part belle aux produits de la mer, la capitale et ses environs abritent de nombreux transformateurs artisanaux.

Si le chiffre d’affaires des conserves de poisson progresse, les volumes, eux, diminuent. Pour justifier une hausse des prix auprès des consommateurs, les conserveurs rivalisent d’idées – nouveaux usages, nouveaux formats, nouvelles espèces – pour attirer de nouvelles cibles.

À l’image des géants qui y ont investi, l’industrie du poisson peut sembler vaciller en Bretagne. Elle poursuit en réalité sa mutation, avec comme atout l'image forte de la région.

Le saumon est le poisson n°1 des chefs devant le cabillaud et le colin d’Alaska. Cette prépondérance s’exprime surtout en frais dans la restauration commerciale et en surgelé pour la restauration collective.