Au pays des Helvètes, la consommation des poissons, coquillages et crustacés reste modeste. Loin de la mer, les Suisses ne sont pas toujours familiers des espèces des côtes françaises qu’ils dégustent d’abord dans les restaurants. Ainsi, les produits aquatiques de qualité trouvent un public de plus en plus large. Les Suisses sont prêts à mettre le prix, notamment pour les poissons d’eau douce et locaux.
Enquête : Dominique GUILLOT
AU SOMMAIRE :
Un marché discret mais porteur
Regards des professionnels helvètes
Manor, le poissonnier Suisse
La perche tend vers l’élevage