Yedo mise sur le traiteur LS
Sa gamme de sushi, maki et sashimi bien implantée, la société du Loir et Cher, investit pour développer une offre plus large en traiteur japonais.
Si l’essentiel du chiffre d’affaires de la société Yedo est réalisé en GMS, 10 % le sont dans les circuits de la restauration. Un chiffre qui pourrait progresser avec les nouveautés dévoilées au Sirha.
En commençant par l’élargissement de la gamme chirashi. « Il s’agit d’une base de sushi déstructurée, qui se positionne comme un plat individuel », explique Sébastien Lebon, chef de marché food service chez Yedo. Accompagnant le riz vinaigré, les crevettes se conjuguent avec les mangues, le maquereau se marie au soja, le saumon se la joue solo en sashimi. Jusqu’alors le saumon avec du wakamé et de l’omelette était seul. Mais pour entrer dans l’univers traiteur LS, la question de la DLC est cruciale. Yedo mise donc sur du 10 à 14 jours pour ses woks et ses soupes japonaises à réchauffer. Il s’agit là de soupes type plat et non des soupes miso toujours existantes.
« L’axe de développement de Yedo est celui du traiteur », indique Sébastien Lebon. Installée à Contres dans le Loir et cher, depuis 1999, l’entreprise investit dans de nouvelles lignes.
C.ASTRUC
Et pour en savoir plus sur l'essor des sushis ne manquez pas le dossier Le bonheur est dans le Kiosque du PdM 149 comme nous le soulignait Philippe Pichlak d'Eat Sushi dans son interview
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