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POISSONS BLANCS - LA BOULIMIE DES TRANSFORMATEURS

Enquête sur la filière des poissons blancs largement dominée par une demande de bloc et concurrencée par le marché chinois.

Variétés de poissons blancs certifiés MSC
En 2009, le poisson blanc représentait 60 % des importations chinoises de produits aquatiques (Photo © L.F)

AU SOMMAIRE :

Une demande très basique

Des préférences variables selon les pays

La Chine Investit pour l'avenir

L'Argentine transforme elle-même son merlu

La morue version PAI

Exigences drastiques pour la morue salée

Désarêtage automatique

Des progrès grâce à la robotisation

 

Enquête d'A-C RENARD


EN RÉSUMÉ :

Une demande très basique

Du bloc, du bloc ou du bloc. C'est à peu près ce à quoi se résume la demande des transformateurs. Mis à part des volumes relativement confidentiels de filets IQF.

La morue version PAI

Pour la fabrication de brandade et dérivés à base de morue, les transformateurs français et espagnols sont demandeurs de chair et de morceaux de filets de morue. Des produits alimentaires intermédiaires fournis par Atlantic Seafood qui commercialise chaque année quelque 2500 tonnes de chair et morceaux de filets de morue.

 

La Chine investit pour l'avenir

Aujourd’hui, le pays est incontournable dans le domaine du découpage de poisson blanc. Il en va de même pour l’usine de Pacific Andes Ltd  qui avec ses 333 000 m2 intègre 8 ateliers de transformation de poisson, une usine de production d’aliment aquacole et 6 entrepôts. 

Désarêtage automatique

La Norvège et l’Islande s’efforcent d’améliorer le rendement et d’accroître l’automatisation de leur industrie de transformation de poissons blancs. Le projet Apricot qui associe Marel porteur du projet, le norvégien Seafoods Group, l’islandais Samherji et le Sintef en Norvège, concerne le désarêtage automatique des filets de poisson blanc.

 

Dossier Poissons Blancs by pdmredac

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