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Bruxelles balise les pratiques des additifs dans le thon

(Crédit photo : DR)

Le comité permanent sur les plantes, les animaux, l’alimentation humaine et animale, émanation du comité de réglementation de la Commission européenne, a précisé les limites d’utilisation d’antioxydant dans les longes de thon. En rappelant d’emblée la règle du quantum satis qui consiste à ne pas dépasser la limite suffisante pour obtenir l’effet antioxydant. Le dosage d’acide ascorbique (E300) et d’ascorbates (E301, E302) ne doit pas excéder 300 mg/kg.

Concernant les extraits de plante, Bruxelles précise que s’ils n’ont pas d’effet aromatisant perceptible en bouche, ils entrent dans la catégorie additifs. S’ils cumulent la fonction aromatisante et technologique, c’est la dernière qui prime. L’extrait de plante est alors un additif et s’impose la législation spécifique sur les additifs alimentaires (règlement (CE) n°1331/2008). Dans la liste exhaustive d’additifs approuvés par la Commission figurent les extraits de plante ayant un intérêt technologique, en particulier pour colorer le thon.

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