Revenir

L'ALIMENTATION EN QUESTION

Valorisation des coproduits
Valorisation des coproduits (Crédits photo © B.L)

 

Dans le monde, la majorité des espèces élevées en aquaculture ne sont pas carnivores. Mais en Europe, les espèces privilégiées par les consommateurs le sont, au grand dam des écologistes qui voient dans la pisciculture un gaspillage des ressources halieutiques, notamment des harengs, chinchards et sardines, sous forme de farine et d’huile. Depuis les débuts de la pisciculture, les scientifiques n’ont eu de cesse de réduire l’indice de conversion.

 

3 PISTES DE RECHERCHE :


Le choix des espèces : les scientifiques se penchent sur la domestication des espèces herbivores (type pangas) ou omnivore (type tilapia). Leur élevage limite la pression sur les ressources halieutiques.

 

La substitution : pour les carnassiers, les scientifiques explorent la substitution des protéines animales marines, pour des végétaux, notamment les algues.


Les coproduits : Têtes, chutes de filets, viscères des produits de la pêche et de l’aquaculture… sont récupérées pour devenir farine ou huile de poisson. Des aliments recherchés par les pisciculteurs engagés dans des démarches responsables.

Articles associés :

Voir plus d'articles liés